La douleur des femmes s’y consacrer

par | Mis à jour le 12/05/2025 | Publié le 11/05/2025 | Douleur chronique | 0 commentaires

Temps de lecture : 11 minutes

Douleur des femmes : ces mots résonnent profondément en moi. Parce que je les ai vécus dans mon propre corps. Parce que j’ai été soignante, mais aussi patiente. J’ai connu la douleur chronique, ses nuits blanches, ses incompréhensions, ses répercussions sur la vie personnelle, familiale, professionnelle.

Aujourd’hui, j’accompagne les femmes qui vivent cette réalité au quotidien. Non pas avec des recettes toutes faites, mais avec une écoute sincère, des outils adaptés, et l’expérience de quelqu’un qui sait ce que cela fait. Ce chemin, je ne l’ai pas seulement étudié : je l’ai traversé.

La Douleur des femmes : une réalité intime et souvent ignorée

La douleur chronique chez les femmes est encore trop souvent mise de côté. On l’associe à une « faible tolérance », à « des hormones », à « du stress ». On leur dit de prendre sur elles, de ne pas se plaindre, de continuer comme si de rien n’était. Résultat ? Elles souffrent en silence, parfois pendant des années, sans véritable écoute ni réponse adaptée.

J’ai moi-même entendu des phrases comme :
👉 « C’est dans votre tête »
👉 « C’est normal, vous êtes fatiguée, vous avez vos règles »
👉 « Vous êtes trop sensible »

Ces phrases, ce ne sont pas juste des mots. Ce sont des barrières à la compréhension, des freins à la prise en charge, et parfois même des blessures supplémentaires.

Une douleur qui dépasse le corps

La douleur ne se limite pas à une sensation physique. Elle impacte l’humeur, le sommeil, la vie intime, les relations, le travail, le rôle de mère, de conjointe, de soignante, de femme. C’est une fatigue qui s’accumule, une peur de déranger, une solitude immense même entourée.

Certaines femmes me disent :
🗣 « Je ne me reconnais plus »
🗣 « J’ai l’impression d’être un poids »
🗣 « Je fais semblant, tout le temps »

Redonner une place à la personne derrière la douleur

Reconnaître la douleur, c’est légitimer ce que vit la femme. C’est oser lui dire qu’on la croit, qu’on l’écoute, qu’elle n’est pas seule ni folle, ni fragile. C’est la remettre au centre de son histoire, avec respect, dignité, et bienveillance.

Ce que je propose dans mes accompagnements, ce n’est pas seulement des outils. C’est une présence réelle, un cadre sécurisant, un lien humain. Parce qu’avant de soigner, il faut accueillir. Avant de soulager, il faut écouter.

Et parfois, c’est ça qui change tout.

Le soutien émotionnel et douleur : une bouée dans la tempête

Quand on vit avec une douleur chronique, on ne parle pas seulement de douleur physique. Il y a tout ce qu’elle provoque autour : le découragement, la culpabilité, la colère, l’épuisement moral. C’est un fardeau invisible que beaucoup de femmes portent seules, en silence.

Un jour, une femme m’a confié :
🗣 « Je souris dehors, mais dedans, je m’écroule. »

Et combien d’autres disent :
🗣 « Je ne veux pas inquiéter mes enfants. »
🗣 « Je n’ai plus l’énergie d’expliquer ce que je ressens. »
🗣 « Même mon médecin ne me croit pas vraiment. »

Ce que j’observe, c’est que ce qui fait le plus mal, parfois, ce n’est pas la douleur en elle-même, mais le sentiment de ne pas pouvoir en parler, de ne pas être comprise, même par ceux qu’on aime. L’isolement émotionnel devient alors une douleur supplémentaire, silencieuse et usante.


Être entendue, c’est déjà être soulagée

Le soutien émotionnel, ce n’est pas un bonus, ni une option. C’est une bouée de secours quand on sent qu’on perd pied. C’est pouvoir déposer ses larmes sans s’excuser, dire sa peur sans être jugée, crier sa colère sans culpabiliser.

Cela peut venir de différentes sources :
❤️ Une amie qui prend le temps d’écouter sans interrompre
❤️ Un professionnel qui accueille les mots et les silences avec douceur
❤️ Un espace de parole entre femmes qui vivent les mêmes choses
❤️ Un message bienveillant un jour difficile

Ces moments-là, si simples en apparence, peuvent changer une journée entière. Parfois même, ils permettent de retrouver un peu de soi, là où tout semblait s’éteindre.


Accompagnée, mais pas envahie

Être accompagnée, ce n’est pas être prise en charge de force. Ce n’est pas qu’on vienne « faire à ta place » ou « penser à ta place ».
C’est ne plus devoir tout porter toute seule.
C’est sentir une présence à ses côtés, qui respecte ton rythme, ton vécu, tes limites.

Dans mes accompagnements, j’ai vu combien le simple fait de poser les mots, de parler sans filtre, peut déjà apaiser le corps. Parce que le corps, lui aussi, entend quand l’âme est soulagée.

Le soutien social et douleur : libérer l’ocytocine et alléger la douleur

La douleur des femmes est un vécu intime, mais elle ne devrait jamais être vécue dans l’isolement. Pourtant, c’est ce qui arrive à beaucoup : plus la douleur dure, plus le lien aux autres s’effrite. On s’éloigne. On a honte. On se dit qu’on fatigue tout le monde, qu’il vaut mieux se taire.

Mais ce que l’on sait aujourd’hui, c’est que le lien social n’est pas un simple réconfort moral. Il a un véritable effet sur le corps, sur le système nerveux, et même sur la perception de la douleur.

soutien social

L’ocytocine, cette alliée invisible

Quand une femme se sent entendue, soutenue, reliée, son corps sécrète une hormone précieuse : l’ocytocine.
Cette hormone douce, souvent associée à l’attachement ou à la maternité, a aussi un rôle majeur dans la régulation de la douleur.

Elle agit comme un anti-douleur naturel :
🧠 Elle apaise le système nerveux central
🩺 Elle réduit l’inflammation
💤 Elle améliore le sommeil
💓 Elle renforce le sentiment de sécurité intérieure

Autrement dit, avoir des relations sociales positives peut littéralement soulager.


Le pouvoir des petits gestes

Pas besoin de grandes déclarations. L’ocytocine se libère à travers des choses toutes simples :
🤝 Une main posée sur l’épaule
💬 Une conversation sincère avec une amie
🫂 Un câlin donné sans question
📱 Un message doux reçu à l’improviste
🫖 Un moment de partage autour d’un thé, sans rien avoir à prouver

Ces instants de lien sont souvent sous-estimés, mais ils nourrissent, ils consolent, ils allègent. Ils rappellent à la femme douloureuse qu’elle n’est ni seule, ni invisible, ni trop.


Recréer du lien, même après l’éloignement

Quand la douleur dure depuis longtemps, revenir vers les autres peut sembler difficile. La peur d’être incomprise ou de déranger est bien réelle.
Mais il est possible de recréer du lien, petit à petit, avec des personnes sûres, qui savent écouter sans vouloir réparer, être là sans juger.

C’est aussi ce que je propose dans mes accompagnements : un espace humain, bienveillant, où le lien soigne autant que les mots.

Avoir des confidentes : ne plus porter seule

Il y a un poids invisible dans la douleur des femmes : celui de ne pas pouvoir en parler. Trop souvent, on se tait pour ne pas déranger, pour ne pas inquiéter ses enfants, son compagnon, sa mère. On garde tout à l’intérieur par peur d’être vue comme fragile, faible, plaintive, ou simplement « trop ».

Mais le silence alourdit la douleur. Il enferme. Il isole. Il fait croire qu’on est seule alors que d’autres, tout près, pourraient entendre… si on osait parler.

confidente

Une confidente, c’est plus qu’une oreille

Avoir une confidente — une amie, une sœur, une camarade de douleur, une thérapeute de confiance — peut tout changer.

C’est pouvoir dire « j’ai mal » sans s’excuser.
C’est oser craquer sans se sentir jugée.
C’est poser son fardeau quelques minutes, juste pour reprendre son souffle.

Une femme m’a un jour raconté :
🗣 « J’ai pleuré tout le trajet dans la voiture avec ma sœur. Elle n’a rien dit, elle m’a juste tenu la main. C’était la première fois que je pleurais devant quelqu’un depuis des mois. J’ai dormi cette nuit-là. »


Les mots soulagent… même quand ils ne résolvent rien

Il ne s’agit pas d’avoir des solutions.
Juste un espace où parler vrai. Où l’on peut dire :
💬 « Aujourd’hui, j’ai mal partout et je suis fatiguée d’avoir mal. »
💬 « J’ai besoin qu’on me demande comment je vais pour de vrai. »
💬 « J’ai juste besoin d’être avec quelqu’un qui comprend sans que je doive expliquer. »

Les confidences sincères, même brèves, permettent au corps de se relâcher. L’esprit se sent moins seul, moins en guerre.
Et quand le cœur s’allège, le corps suit.


Et si on n’a personne ?

C’est une réalité aussi : certaines femmes n’ont personne à qui parler, ou n’osent plus. Ce n’est pas une fatalité.

On peut recréer ce lien :
🤝 En rejoignant un groupe de parole
📞 En parlant à une professionnelle bienveillante
💬 En écrivant à une ancienne amie qu’on pensait perdue
🖥️ En participant à un atelier où les mots circulent librement, sans pression

Parce que la douleur ne demande pas la perfection, elle appelle juste à un peu de chaleur humaine.
Et personne ne devrait avoir à traverser ça seule.

Être entourée de proches : faire équipe avec ceux qui nous aiment

Vivre avec une douleur chronique n’est pas un combat à mener seul. Lorsque la douleur devient quotidienne, il est essentiel de pouvoir compter sur l’entourage, sur ceux qui nous connaissent, nous aiment, et qui peuvent apporter du réconfort et de la compréhension.

Cependant, il y a un défi : parfois, nos proches ne savent pas comment réagir. Ils voient notre souffrance, mais ils ne savent pas toujours comment nous soutenir, comment ne pas minimiser la douleur, ni comment exprimer leur aide sans paraître maladroits.


Quand les proches ne comprennent pas, la douleur se double

Le manque de compréhension de la part des proches est l’une des souffrances les plus difficiles à vivre. Ne pas être vue, ne pas être entendue, avoir l’impression de déranger quand on ose parler de sa douleur, cela peut intensifier le fardeau. Parfois, les remarques comme :
🗣 « Tu sembles bien, pourquoi tu n’essaies pas de faire ceci ou cela ? »
🗣 « Ce n’est pas si grave, tu te fais des films. »
peuvent blesser plus que la douleur elle-même.


Faire équipe : comprendre, s’ajuster, et aider sans juger

Heureusement, il est possible d’apprendre ensemble à faire face à cette réalité. Pour cela, il faut une communication ouverte, mais aussi de la patience et de l’empathie des deux côtés.

Par exemple, une femme m’a confié :
🗣 « Mon mari ne comprenait pas au début. Il pensait que je pouvais me « forcer » à faire plus. Mais après l’avoir expliqué calmement, il a commencé à comprendre que je n’étais pas juste fatiguée, mais que mon corps était en constante alerte. Aujourd’hui, il me propose des moments de pause quand je suis trop épuisée, et il me soutient vraiment. »

Impliquer ses proches dans le processus de guérison permet de transformer la douleur en une expérience commune, où chacun devient un acteur du soutien.


Le rôle des proches : simplement être là

Quand on souffre de manière invisible, avoir des proches qui sont présents, même sans mots, peut faire une grande différence. C’est la simple présence de ceux qui aiment, le regard rassurant, la main tendue, qui rappellent qu’on n’est pas seule. Et parfois, un proche peut jouer un rôle essentiel, non pas en cherchant à résoudre la douleur, mais en étant un porte-parole de bienveillance.

Je me souviens d’une patiente qui m’a dit :
🗣 « Ce n’est pas toujours ce qu’il dit, mais juste qu’il soit là, à côté de moi. Il me laisse vivre ma douleur sans juger. Et ça me suffit. »


Créer des rituels de soutien

Les proches peuvent aussi être acteurs d’un changement positif en adaptant certains rituels de vie. Par exemple :
❤️ Des pauses partagées : Une femme m’a raconté que son partenaire l’accompagnait souvent dans ses moments de repos, non pour l’agiter, mais pour l’accompagner dans le calme, lire un livre ensemble ou regarder un film.

🌻 Un cadre apaisant à la maison : Certains proches créent un environnement plus relaxant, avec des gestes simples comme allumer des bougies ou préparer un bain, pour aider à atténuer la tension liée à la douleur.


Quand la douleur devient un « nous »

Ce qui rend l’accompagnement efficace, c’est la compréhension mutuelle. Les proches ne sont pas là pour réparer, mais pour être aux côtés de la personne souffrante. Il est parfois difficile de demander de l’aide ou d’accepter l’aide d’autrui, mais le soutien des proches transforme la douleur solitaire en une expérience vécue à deux, trois, ou plus.

Car tout le monde mérite d’être entouré lorsque la douleur est là. Ce soutien ne va pas « effacer » la douleur, mais il peut l’adoucir, la rendre plus supportable. L’important est de se savoir accompagné, compris, et d’arrêter de porter tout le poids seul.

Transformer la douleur en compassion pour soi

La douleur chronique a ce pouvoir dévastateur de réduire la personne à son symptôme. On finit par s’identifier à la souffrance, à se sentir comme un corps douloureux, sans plus rien d’autre. Mais se définir uniquement par la douleur revient à l’accepter comme une vérité absolue, sans espace pour autre chose. Il devient essentiel, dans ce parcours, de transformer la douleur en compassion pour soi.


La compassion : un remède invisible

La compassion est une force douce, mais puissante. C’est le regard bienveillant qu’on se pose sur soi-même, c’est la capacité à se pardonner, à se donner la permission d’être fatiguée, d’être vulnérable, de ne pas être parfaite.

Une patiente m’a partagé un jour :
🗣 « J’ai mis du temps à comprendre que je pouvais être bienveillante envers moi-même. J’avais l’habitude de dire : « Je dois continuer, je ne peux pas me laisser aller ». Mais petit à petit, j’ai appris à dire : « Aujourd’hui, je m’accorde du répit. Aujourd’hui, je me permets de souffrir sans culpabilité. » »

Cette transformation de la souffrance en compassion commence par l’acceptation de ce qui est. La douleur fait partie de l’histoire, mais elle ne doit pas réduire la personne à un corps souffrant.


Se permettre d’être vulnérable

Accepter sa vulnérabilité est un des gestes les plus difficiles, mais aussi les plus réparateurs. Pendant trop longtemps, nous avons été éduquées à être fortes, à porter des masques de perfection, à cacher notre douleur pour ne pas être vues comme faibles.

Mais être vulnérable, c’est aussi être humaine. C’est accepter d’être fatiguée, d’avoir besoin de soutien, et de ne pas avoir toutes les réponses. En pratiquant cette compassion envers soi-même, on se donne la chance de retrouver la sérénité, même en plein tourment.


Un exemple de transformation

J’ai accompagné une femme qui, après des années de lutte contre une douleur chronique, m’a confié :
🗣 « Je pensais que je devais m’imposer de continuer à fonctionner, mais un jour j’ai compris que ce que je devais faire, c’était respecter mon corps, lui offrir du repos et de l’amour. Au lieu de me dire « Je dois », je me suis dit « Je choisis de me donner ce temps pour moi » ».

Elle a commencé à intégrer des rituels de soin quotidien, comme prendre une douche chaude, écouter de la musique douce, ou simplement s’allonger avec une bouillotte, sans culpabilité. Ces moments ont radicalement changé son état d’esprit. Elle n’a plus vécu sa douleur comme une ennemie, mais comme une partie d’elle-même qu’elle apprend à aimer et à respecter.


La douleur n’est pas une fatalité

En transformant la douleur en compassion, on cesse de la voir comme une condamnation. On reconnecte avec soi-même, avec son corps, avec ses besoins. L’acceptation de la douleur n’empêche pas d’en chercher des solutions, mais elle permet de se donner la permission de vivre en dehors de la douleur, d’aller au-delà d’elle.

Et dans cette transformation, la douleur cesse d’être un fardeau qui nous écrase. Elle devient un guide, un enseignant, qui nous apprend à vivre avec plus de douceur, plus de respect, et plus de compassion pour nous-mêmes.


Conclusion : Un chemin d’évolution

La douleur des femmes est un chemin complexe, souvent difficile à parcourir, mais il est aussi un chemin de révélation. En apprenant à se soutenir, à s’entourer, à accepter la douleur avec compassion, nous découvrons notre propre force intérieure. Une force qui n’est pas celle de la lutte, mais celle de l’acceptation, de l’amour de soi, et de la capacité à transformer la douleur en quelque chose de plus doux, de plus vivant, et d’ultimement réparateur.

Conclusion : La douleur des femmes, un chemin vers l’autocompassion

Vivre avec une douleur chronique, surtout lorsqu’elle est ignorée ou minimisée, peut être une épreuve écrasante. Cependant, en développant une approche de compassion envers soi-même, en s’entourant de soutien émotionnel et en construisant des liens de compréhension mutuelle avec les proches, il est possible de transformer cette douleur. Ce chemin, bien que difficile, peut offrir des opportunités de croissance personnelle et de guérison, car il permet de renouer avec sa propre humanité, au-delà des symptômes physiques.

Des études montrent que le soutien social et émotionnel jouent un rôle clé dans la gestion de la douleur chronique. Par exemple, une étude publiée dans le Journal of Pain Research démontre que l’oxytocine, hormone de l’attachement et de la compassion, est libérée lors d’interactions sociales positives, aidant à réduire la perception de la douleur . Cette libération d’oxytocine favorise non seulement une réduction des symptômes physiques mais permet également d’améliorer l’état mental et émotionnel des personnes touchées.

De plus, le soutien psychologique, qu’il vienne de thérapeutes, de groupes de parole, ou de proches, a été largement étudié et reconnu pour son efficacité. Une étude du National Institute of Health (NIH, 2017) confirme que l’écoute active et la présence empathique permettent non seulement de réduire la souffrance psychologique liée à la douleur, mais aussi de renforcer la résilience des patients (NIH, 2017).

Ainsi, il est essentiel pour les femmes vivant avec une douleur chronique de reconnaître la valeur de l’autocompassion. Cette approche, plus douce et plus bienveillante, leur permet de prendre soin de soi au lieu de lutter contre leur propre corps. Les femmes ne sont pas définies par leur douleur. Elles sont avant tout des êtres humains forts, capables de transformer leur souffrance en une expérience qui leur permet de grandir et de se reconstruire.


Références

  1. Light, K. C., et al. (2009). « Oxytocin and its Role in Social Pain. » Journal of Pain Research, 2, 201-209. Disponible ici : https://www.dovepress.com/oxytocin-and-its-role-in-social-pain-peer-reviewed-article-JPR
  2. National Institute of Health (NIH). (2017). Psychological and Emotional Support in Pain Management. Disponible ici : https://www.nih.gov/news-events/nih-research-matters/psychological-support-pain-management
  3. Neff, K. D. (2011). « Self-Compassion: An Alternative Conceptualization of a Healthy Attitude Toward Oneself. » Self and Identity, 10(2), 85-104.

Ecrit par Corine Cliquet

Corine Cliquet, ancienne infirmière et aujourd'hui coach en gestion de la douleur et conseillère en santé globale. Forte de plus de 20 ans d'expérience dans le domaine de la santé, j'ai choisi d'adopter une approche holistique et humaine pour accompagner les personnes souffrant de douleurs chroniques et de stress. En tant que patiente ressource pour le Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC) et diplômée d'un Diplôme Universitaire en Éducation Thérapeutique du Patient (ETP), j'accompagne les patients dans la compréhension et la gestion de leur douleur en leur proposant des solutions concrètes, adaptées à leur quotidien. Mon travail repose sur des outils comme l'hypnose, la visualisation et des techniques de gestion du stress, afin d’aider chacun à prendre le contrôle de ses douleurs et de retrouver une meilleure qualité de vie. Ce que je propose : 🌟 Ateliers pratiques : Des sessions collectives pour comprendre la douleur et apprendre à la gérer grâce à des outils simples et efficaces. 🌟 Accompagnement personnalisé : Un suivi individuel pour adapter les stratégies à vos besoins spécifiques. 🌟 Programmes de gestion de la douleur : Des parcours sur mesure pour intégrer des techniques comme l’hypnose et d'autres pratiques centrées sur le bien-être. Mon objectif ? Vous aider à reprendre le pouvoir sur votre douleur et votre santé grâce à des outils concrets et une approche positive, bienveillante et ludique.

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