Comportements à risque et douleur chronique :

par | Mis à jour le 24/05/2025 | Publié le 15/05/2025 | Douleur chronique | 0 commentaires

Temps de lecture : 10 minutes

Les comportements à risque et douleur sont deux concepts intimement liés. En effet, des habitudes telles que le tabagisme, la consommation d’alcool, l’usage de drogues récréatives ou l’automédication peuvent non seulement aggraver la douleur chronique, mais aussi être des facteurs de risque pour d’autres problèmes de santé. Ces comportements peuvent créer un cercle vicieux, où la douleur conduit à l’adoption de stratégies d’automédication, et où ces dernières exacerbent à leur tour la douleur. Dans cet article, nous explorons comment ces comportements influencent la douleur chronique et comment les gérer efficacement.

Le tabagisme et la douleur chronique : un lien renforcé

gros plan d une personne soufflant sur une cigarette entouree de fumee
a closeup shot of a person puffing on a cigarette surrounded with smoke

Le comportement à risque et douleur est particulièrement manifeste chez les fumeurs. Le tabagisme est l’un des comportements à risque les plus fréquemment associés à la douleur chronique. En effet, des études ont montré que les fumeurs souffrent deux fois plus souvent de douleurs chroniques que les non-fumeurs. Ce lien entre tabagisme et douleur chronique est renforcé par plusieurs mécanismes physiopathologiques.

La nicotine, principal composant du tabac, agit directement sur le système nerveux central. En se fixant sur des récepteurs spécifiques du cerveau, elle modifie la perception de la douleur, ce qui peut amplifier la souffrance. Par exemple, des recherches ont démontré que les personnes souffrant de fibromyalgie, une maladie caractérisée par des douleurs musculaires et articulaires diffuses, présentent souvent des niveaux plus élevés de douleur lorsqu’elles fument. La nicotine interfère également avec la production de dopamine, un neurotransmetteur impliqué dans le contrôle de la douleur, augmentant ainsi la sensibilité à cette dernière.

De plus, les fumeurs ont également des taux plus élevés de dépression et d’anxiété, des facteurs qui accentuent encore leur sensibilité à la douleur. La dépression et l’anxiété sont des facteurs de vulnérabilité face à la douleur chronique. Un fumeur qui souffre déjà de douleur chronique peut se retrouver dans un cercle vicieux : la douleur renforce l’anxiété et la dépression, et ces états émotionnels rendent la douleur plus intense. Par exemple, une étude sur les patients atteints de douleurs lombaires a révélé que ceux qui fumaient avaient des scores de douleur plus élevés que ceux qui ne fumaient pas, et que leur réponse au traitement était moins efficace.

Il est prouvé que le tabagisme ne soulage pas la douleur mais contribue à son intensification en créant des troubles émotionnels et en exacerbant les mécanismes inflammatoires. Le tabac est également impliqué dans le processus d’inflammation qui est au cœur de nombreuses douleurs chroniques, comme l’arthrite ou la douleur musculaire. En effet, les produits chimiques présents dans le tabac favorisent l’inflammation, aggravant ainsi les symptômes de douleur. Par exemple, des patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde ont signalé que leurs douleurs étaient considérablement réduites après l’arrêt du tabac, montrant que l’inflammation causée par le tabagisme joue un rôle majeur dans l’intensification de la douleur.

En outre, les fumeurs peuvent éprouver une réduction de l’oxygénation des tissus, ce qui peut également aggraver la douleur musculaire et articulaire, notamment chez ceux qui souffrent de maux de dos chroniques. Cela se produit car la circulation sanguine est altérée par la fumée de cigarette, ce qui réduit l’apport en nutriments et en oxygène nécessaires au bon fonctionnement des muscles et des articulations.

En résumé, le lien entre tabagisme et douleur chronique est multifactoriel. Le comportement à risque qu’est le tabagisme contribue à aggraver la douleur par des mécanismes physiologiques (augmentation de la sensibilité à la douleur, inflammation, altération de la circulation sanguine) et psychologiques (dépression, anxiété). Pour les personnes souffrant de douleur chronique, arrêter de fumer peut non seulement réduire la souffrance, mais aussi améliorer leur qualité de vie en permettant de mieux gérer la douleur et en réduisant les risques associés à ce comportement à risque.

L’alcool, les opioïdes et les comportements d’automédication

tabac, opioïdes

Parmi les comportements à risque liés à la douleur, l’automédication occupe une place importante. De nombreuses personnes souffrant de douleur chronique se tournent vers l’alcool ou les opioïdes dans l’espoir de soulager leur souffrance. Ces substances, bien qu’elles puissent sembler offrir un répit temporaire, sont loin d’être anodines et comportent des risques majeurs.

L’alcool est souvent perçu comme une solution accessible pour « oublier » la douleur. Certaines personnes l’utilisent en fin de journée pour se détendre, se couper de la réalité ou trouver le sommeil malgré la douleur. Pourtant, l’alcool n’a aucun effet analgésique réel. Il agit avant tout sur le système nerveux central en provoquant un engourdissement émotionnel, ce qui peut masquer brièvement la perception de la douleur. Ce soulagement temporaire pousse à la répétition du comportement, pouvant entraîner une dépendance.

Les dangers augmentent encore lorsque l’alcool est associé à des analgésiques, notamment les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou les opioïdes. Cette combinaison peut provoquer des interactions graves : lésions hépatiques, troubles gastriques, troubles de la conscience, voire dépression respiratoire. Par exemple, une personne prenant de la codéine ou du tramadol pour ses douleurs dorsales et consommant régulièrement de l’alcool s’expose à un risque élevé de somnolence, de confusion ou de chutes. Chez certaines femmes, ce type de combinaison a conduit à des hospitalisations d’urgence pour surdose accidentelle.

Par ailleurs, l’usage régulier ou excessif d’alcool peut provoquer l’effet inverse de celui recherché : il peut sensibiliser davantage à la douleur. En altérant les mécanismes de régulation du système nerveux, l’alcool dérègle la perception sensorielle et contribue à l’installation d’un état douloureux persistant, souvent accompagné de troubles anxieux et dépressifs. Cela crée un cercle vicieux : plus la douleur est présente, plus la consommation augmente, ce qui rend la douleur plus intense.

Les opioïdes, quant à eux, sont parfois prescrits pour des douleurs sévères, mais leur usage prolongé ou détourné peut entraîner une tolérance, une perte d’efficacité, et une dépendance sévère. De nombreuses femmes atteintes de douleurs pelviennes chroniques ou de migraine ont signalé avoir développé une accoutumance après plusieurs mois de traitements à base de morphiniques, avec des douleurs qui revenaient plus fortes entre les prises. Ce phénomène, appelé hyperalgésie induite par les opioïdes, illustre bien les dangers de ces substances lorsqu’elles sont utilisées sans accompagnement adapté.

Enfin, le recours à l’automédication, qu’elle soit à base de substances psychoactives ou de médicaments sans prescription, prive souvent les femmes concernées d’un accompagnement thérapeutique personnalisé. Or, pour faire face à la douleur chronique, il est essentiel de comprendre les mécanismes à l’œuvre, d’apprendre à réguler le système nerveux autonome, et de retrouver un pouvoir d’action sur sa santé.

Drogues illicites : un piège pour les douleurs chroniques

Le lien entre comportement à risque et douleur est également très fort lorsqu’il s’agit de drogues illicites. De nombreuses personnes atteintes de douleur chronique finissent par se tourner vers des substances interdites, notamment lorsque les traitements médicaux classiques ne suffisent plus à soulager leur souffrance ou lorsqu’elles ressentent une forme de désespoir. Selon certaines études, environ 16 % des patients douloureux chroniques consomment ou ont consommé des drogues illicites, avec une prédominance de l’abus d’opioïdes.

Ces substances sont parfois utilisées dans l’espoir d’un soulagement rapide, mais les effets à long terme sont désastreux. Bien que certaines drogues, comme l’héroïne, le fentanyl ou certains opioïdes détournés (oxycodone, hydromorphone), puissent produire une diminution temporaire de la perception de la douleur, elles finissent par amplifier la douleur chronique. Ce phénomène, connu sous le nom d’hyperalgésie induite par les opioïdes, est bien documenté : plus la consommation se prolonge, plus la personne devient hypersensible à la douleur, même en l’absence de stimuli nociceptifs.

Par exemple, une femme souffrant de fibromyalgie ayant commencé à consommer du cannabis illégalement pour apaiser ses douleurs a constaté une tolérance croissante, l’obligeant à augmenter les doses. En quelques mois, elle a développé une dépendance psychologique, sans réelle amélioration de ses symptômes. D’autres patientes, après des années de traitement antidouleur, se tournent vers des opioïdes obtenus sur le marché noir, pensant retrouver une vie plus supportable. En réalité, elles se retrouvent piégées dans une spirale où la douleur devient omniprésente, renforcée par des troubles anxieux, des troubles du sommeil, et une perte de confiance dans le corps médical.

L’usage récréatif détourné de certaines drogues comme la MDMA, les amphétamines ou les benzodiazépines est aussi observé chez certaines femmes cherchant à « échapper » à leur douleur. Si ces substances modifient l’état de conscience, elles n’ont aucun effet curatif sur la douleur chronique et participent au dérèglement du système nerveux autonome. Ces comportements à risque entraînent des complications médicales, sociales, psychologiques, et isolent encore davantage la personne dans sa souffrance invisible.

Ces stratégies de survie traduisent souvent un manque de ressources adaptées : absence d’écoute, retards de diagnostic, invalidation des symptômes. Pour sortir de ces schémas destructeurs, il est essentiel de proposer un accompagnement multidimensionnel, humain et accessible, incluant l’éducation à la douleur, l’exploration du vécu corporel, et des outils comme la respiration, l’hypnose ou le coaching pour retrouver une forme de sécurité intérieure.

Médicaments prescrits ou antalgiques: quand le traitement devient un risque

Le comportement à risque et douleur ne se limite pas à l’automédication ou aux drogues illicites. Il inclut aussi des usages problématiques de médicaments prescrits, notamment les antalgiques puissants comme les opioïdes et les opiacés, pourtant délivrés légalement par le corps médical.

Pendant longtemps, ces traitements ont été présentés comme des solutions incontournables pour soulager la douleur chronique. Mais la réalité est plus nuancée :
➡️ L’usage prolongé d’opioïdes peut entraîner une hyperalgésie, c’est-à-dire une augmentation de la sensibilité à la douleur, un comble pour un médicament censé l’apaiser.
➡️ De plus, leur potentiel addictif est bien documenté. Il n’est pas rare de voir des patientes prises dans une spirale de dépendance, non choisie, provoquée par un traitement débuté en toute confiance.
➡️ L’association avec d’autres substances (alcool, benzodiazépines…) aggrave encore les risques : somnolence excessive, surdosage, isolement, chute de la qualité de vie.

🛑 Ces usages ne relèvent pas d’une mauvaise volonté ou d’un abus volontaire. Ils sont le symptôme d’un système de soins qui, trop souvent, prescrit sans expliquer, et ne donne pas d’alternative accessible ni d’accompagnement global.


Accompagner sans juger : sortir du tout-médicament

En tant qu’infirmière, praticienne en hypnose et coach en gestion de la douleur, je refuse de détourner le regard de ces réalités. Mon approche repose sur :

  • Une éducation thérapeutique accessible et claire pour comprendre les effets des traitements,
  • Des techniques d’autorégulation pour soulager autrement : respiration, relaxation, hypnose douleur, exercices ciblés,
  • Un espace d’écoute pour repenser son rapport au traitement, sans culpabilité, et avec des solutions concrètes.

Le comportement à risque et douleur lié aux prescriptions n’est pas une fatalité. C’est un signal d’alerte, une occasion de remettre du sens, de la conscience et de la liberté dans le parcours de soin.

Comportement à risque et douleur : un cercle vicieux de complications

Le lien entre comportement à risque et douleur ne se limite pas à l’usage de substances. De nombreux comportements du quotidien peuvent entretenir, voire aggraver la douleur chronique de manière insidieuse. Ces habitudes sont parfois banalisées, ignorées, ou vécues comme des adaptations nécessaires à la douleur — mais elles alimentent en réalité un cercle vicieux dont il est difficile de sortir.

Parmi les comportements à risque fréquemment observés, on retrouve :

  • La sédentarité : lorsqu’on souffre au moindre mouvement, l’envie de bouger disparaît. Pourtant, l’inactivité physique entraîne une perte musculaire, une raideur articulaire, une prise de poids et une augmentation de l’inflammation, tous facteurs aggravants pour la douleur chronique. Une femme atteinte de douleurs lombaires depuis plusieurs années a ainsi vu ses douleurs s’intensifier à mesure qu’elle passait ses journées allongée, pensant se préserver.
  • Une alimentation déséquilibrée : trop sucrée, trop transformée ou carencée, elle favorise l’inflammation systémique, affaiblit le système immunitaire et perturbe le microbiote intestinal, qui joue pourtant un rôle central dans la régulation de la douleur et de l’humeur. De nombreuses femmes douloureuses chroniques rapportent un lien entre leur alimentation et des pics de douleur, sans toujours savoir comment l’interpréter ni y remédier.
  • Les comportements violents ou auto-destructeurs : colère non exprimée, agressivité envers soi ou les autres, isolement, repli… Ces comportements sont souvent liés à une détresse émotionnelle profonde. Ils provoquent des tensions musculaires, des troubles du sommeil, et entretiennent un état de stress chronique qui stimule en permanence le système nerveux autonome, réduisant la capacité naturelle du corps à s’apaiser.
  • Le manque de sommeil et les rythmes déréglés : la douleur perturbe le sommeil, et le manque de sommeil abaisse le seuil de tolérance à la douleur. C’est un véritable cercle infernal, souvent minimisé par les personnes concernées qui finissent par croire qu’un mauvais sommeil fait partie intégrante de leur quotidien.

Ces comportements à risque ne sont pas des « fautes » ou des « erreurs », mais des tentatives d’adaptation à une douleur omniprésente, souvent invisible et invalidante. Ils traduisent un besoin non comblé : celui d’être entendue, accompagnée, soutenue dans la durée.

Sortir de ce cercle vicieux passe par une approche globale : comprendre les mécanismes de la douleur chronique, identifier les facteurs aggravants, et réintroduire progressivement des gestes de soin, des choix conscients, du mouvement adapté, une alimentation bienveillante, un rythme plus respectueux de soi. C’est dans cet esprit que je conçois les ateliers sur la douleur, les formations et les accompagnements individuels, pour offrir un espace de compréhension et de transformation profonde, à votre rythme.

La gestion des comportements à risque dans le traitement de la douleur chronique

La prise en charge des comportements à risque et douleur est une étape essentielle dans le traitement de la douleur chronique. Ces comportements, qu’ils soient conscients ou non, peuvent entretenir voire amplifier la douleur. Il ne suffit pas d’agir uniquement sur les symptômes physiques : pour alléger réellement la souffrance, il faut aussi comprendre ce qui l’alimente au quotidien.

En tant que praticienne en hypnose, coach et infirmière, j’accompagne les femmes à identifier les comportements qui nuisent à leur équilibre : automédication, isolement, alimentation inflammatoire, inactivité, mais aussi pensées négatives répétitives, culpabilité, ou exigence de performance malgré la douleur.

À travers mes ateliers sur la douleur, mes formations et mes accompagnements personnalisés, je propose une approche centrée sur :

  • L’éducation thérapeutique : comprendre comment fonctionne la douleur chronique, pourquoi certains comportements sont des réactions de survie, et comment il est possible de les transformer avec des outils simples et progressifs.
  • Les techniques d’autorégulation : des pratiques comme la respiration consciente, la relaxation guidée, ou encore l’ancrage corporel, permettent de calmer le système nerveux autonome, de réduire l’intensité de la douleur et de retrouver un sentiment de sécurité intérieure.
  • Des temps d’écoute et de reconnexion à soi : pour aider chaque femme à poser un regard plus doux sur son vécu, à retrouver de la clarté, de la confiance et des ressources qu’elle pensait perdues.

Rompre le cercle vicieux entre comportement à risque et douleur, ce n’est pas tout changer du jour au lendemain. C’est avancer pas à pas, avec bienveillance, pour retrouver du pouvoir d’action sur sa santé, son corps, et sa vie.

Conclusion : rompre le cercle vicieux

Le lien entre comportement à risque et douleur est à la fois complexe et inévitable. Des comportements tels que le tabagisme, la consommation excessive d’alcool, l’usage de drogues illicites, mais aussi des habitudes de vie délétères (inactivité, mauvaise alimentation, isolement social) jouent un rôle majeur dans l’entretien et l’aggravation de la douleur chronique.

Ces comportements peuvent initialement apparaître comme des stratégies d’adaptation, voire comme des tentatives d’automédication. Pourtant, à long terme, ils ne font que renforcer la souffrance physique et psychique.

Les études confirment ce lien :

  • Le tabagisme double le risque de douleur chronique et augmente la perception de la douleur (Shi et al., 2010).
  • L’abus d’alcool est associé à une plus grande sensibilité à la douleur et à un risque accru de troubles dépressifs comorbides (Riley et al., 2009).
  • L’utilisation prolongée d’opioïdes ou de drogues illicites entraîne une hyperalgésie induite, c’est-à-dire une sensibilité accrue à la douleur (Younger et al., 2009).

Pour rompre ce cercle vicieux, une approche globale, humaine et individualisée est indispensable. L’éducation thérapeutique du patient, associée à des outils d’autorégulation et à un accompagnement sur les dimensions émotionnelles et comportementales, permet de redonner du pouvoir d’action aux personnes concernées.

Il est possible de vivre autrement avec la douleur chronique, en s’autorisant à changer, à comprendre, et à retrouver une forme de liberté corporelle et psychique.

Ecrit par Corine Cliquet

Corine Cliquet, ancienne infirmière et aujourd'hui coach en gestion de la douleur et conseillère en santé globale. Forte de plus de 20 ans d'expérience dans le domaine de la santé, j'ai choisi d'adopter une approche holistique et humaine pour accompagner les personnes souffrant de douleurs chroniques et de stress. En tant que patiente ressource pour le Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC) et diplômée d'un Diplôme Universitaire en Éducation Thérapeutique du Patient (ETP), j'accompagne les patients dans la compréhension et la gestion de leur douleur en leur proposant des solutions concrètes, adaptées à leur quotidien. Mon travail repose sur des outils comme l'hypnose, la visualisation et des techniques de gestion du stress, afin d’aider chacun à prendre le contrôle de ses douleurs et de retrouver une meilleure qualité de vie. Ce que je propose : 🌟 Ateliers pratiques : Des sessions collectives pour comprendre la douleur et apprendre à la gérer grâce à des outils simples et efficaces. 🌟 Accompagnement personnalisé : Un suivi individuel pour adapter les stratégies à vos besoins spécifiques. 🌟 Programmes de gestion de la douleur : Des parcours sur mesure pour intégrer des techniques comme l’hypnose et d'autres pratiques centrées sur le bien-être. Mon objectif ? Vous aider à reprendre le pouvoir sur votre douleur et votre santé grâce à des outils concrets et une approche positive, bienveillante et ludique.

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