Approche globale de la douleur chronique

par | Mis à jour le 17/05/2025 | Publié le 04/04/2025 | La douleur chronique

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Temps de lecture : 10 minutes

Approche globale de la douleur chronique : une nécessité quand la douleur s’installe durablement dans la vie d’une femme. Invisible pour les autres, elle bouleverse le quotidien, épuise le corps, fragilise le moral, et peut parfois isoler profondément. Pour retrouver un peu d’apaisement et de stabilité, il ne suffit pas de calmer les symptômes : il est essentiel de comprendre la douleur dans toute sa complexité.

C’est dans cette perspective qu’une approche globale prend tout son sens. Elle repose sur l’écoute, la personnalisation et l’articulation de différents types de soutien — médicaux, psychologiques, sociaux et personnels — pour mieux vivre avec la douleur, pas à pas.

1. Prise en charge médicale,oui… mais pas uniquement

Prise en charge médicale

La prise en charge médicale reste une étape importante dans le parcours des femmes vivant avec une douleur chronique. Elle peut soulager, rassurer, et permettre de poser des repères. Mais elle ne suffit pas à elle seule : la douleur chronique est souvent multifactorielle, et nécessite une approche plus large pour améliorer réellement la qualité de vie.

Les médicaments : un soulagement partiel, mais nécessaire

Les traitements médicamenteux font partie des premières réponses proposées :

  • Antalgiques (paracétamol, codéine, tramadol…) : ils peuvent atténuer la douleur de fond ou les pics douloureux.
  • Anti-inflammatoires : utiles en cas d’inflammation persistante (ex. : arthrite, endométriose), mais souvent contre-indiqués à long terme.
  • Traitements de fond : antidépresseurs à visée antalgique (comme l’amitriptyline), antiépileptiques (comme la prégabaline pour les douleurs neuropathiques), etc.

➡️ Ces traitements peuvent réduire certains symptômes, mais ne sont pas toujours suffisants pour apaiser durablement la douleur, surtout lorsqu’elle est liée au système nerveux ou entretenue par des facteurs émotionnels ou sociaux.

Des interventions ciblées : agir localement sur la douleur

Dans certains cas, des gestes médicaux spécifiques peuvent être proposés :

  • Infiltrations de corticoïdes (dans une articulation ou près d’un nerf, par exemple en cas de névralgie cervico-brachiale).
  • Bloc nerveux : une injection anesthésiante ciblée qui “met au repos” un nerf trop actif.
  • Neurostimulation (TENS, implants) : pour moduler les signaux douloureux transmis au cerveau.
  • Chirurgie : rarement proposée, mais parfois nécessaire en cas de lésion structurelle (comme une hernie discale sévère ou un syndrome du canal carpien non soulagé autrement).

➡️ Ces approches permettent une action plus directe sur la zone douloureuse, mais elles ne résolvent pas toujours les causes profondes ou les mécanismes d’entretien de la douleur.

Centres spécialisés : un regard global et coordonné

Les centres de la douleur (ou structures spécialisées en douleur chronique) rassemblent une équipe pluridisciplinaire : médecins algologues, infirmières, psychologues, kinésithérapeutes, sophrologues, etc.

Ils proposent :

  • Une évaluation approfondie de la douleur (type, intensité, impact, facteurs aggravants…).
  • Des programmes personnalisés intégrant différents leviers : éducation à la douleur, soutien psychologique, thérapies corporelles, relaxation…
  • Une coordination avec les professionnels de santé déjà impliqués : médecin traitant, rhumatologue, gynécologue, neurologue, etc.

➡️ Cette approche globale est particulièrement utile dans les cas complexes ou lorsque les douleurs résistent aux traitements classiques. Elle permet de ne pas rester seule avec sa douleur et de bénéficier d’un accompagnement ajusté.

2. L’Approche globale de la douleur chronique : une réponse adaptée à une réalité complexe

La douleur chronique ne se résume pas à un symptôme isolé. Elle influence l’ensemble de la vie : le corps, les émotions, les relations, le sommeil, la confiance en soi… C’est pourquoi il est essentiel de sortir d’une vision strictement médicale pour envisager une prise en charge globale de la douleur chronique.

Ce type d’accompagnement s’appuie sur une vision multidimensionnelle : il ne s’agit plus seulement de soulager un point douloureux, mais de comprendre les mécanismes complexes, de réduire l’impact sur le quotidien, et de redonner du pouvoir à la personne concernée.

Pourquoi une approche globale est-elle nécessaire ?

Parce que la douleur chronique :

  • Peut persister malgré des examens normaux ou l’absence de cause visible ;
  • S’accompagne souvent d’épuisement, d’anxiété, voire de découragement ;
  • Peut être amplifiée par des facteurs émotionnels, un stress permanent, ou une mauvaise compréhension de ce qui se joue dans le corps.

➡️ Dans ce contexte, agir sur tous les plans à la fois (biologique, psychologique, social) est la clé d’un accompagnement réellement aidant.

Les piliers d’une prise en charge globale

  1. Traitements médicaux adaptés (vus précédemment) : un socle nécessaire.
  2. Thérapies de réadaptation : kinésithérapie, ergothérapie, activité physique adaptée… pour bouger autrement, retrouver de la mobilité, et reconstruire une relation plus sereine avec son corps.
  3. Soutien psycho-émotionnel : avec des psychologues, des groupes de parole, ou encore des approches comme l’hypnose, la méditation ou la pleine conscience.
  4. Éducation à la douleur : comprendre ce qu’est la douleur chronique, comment elle fonctionne dans le cerveau, et pourquoi certains gestes ou comportements peuvent l’aggraver… ou l’apaiser.
  5. Stratégies d’autogestion : apprendre à identifier ses besoins, à réguler son stress, à faire des choix plus doux pour soi.

Compléter avec des approches personnalisées

Une prise en charge globale ne serait pas complète sans des outils accessibles au quotidien :

  • Du coaching individuel, pour accompagner les changements dans la durée, soutenir la mise en place de nouvelles habitudes et reconstruire la confiance.
  • Des ateliers éducatifs, pour apprendre ensemble, dans un cadre bienveillant, avec d’autres femmes concernées.
  • De l’auto-hypnose, pour agir sur le système nerveux autonome, retrouver du calme intérieur et moduler la perception de la douleur.

➡️ Toutes ces dimensions se complètent : on ne traite pas seulement la douleur, on accompagne la personne dans sa globalité.

3. Les thérapies de réadaptation : bouger autrement, avec douceur

Quand on vit avec une douleur chronique, le mouvement peut devenir un enjeu difficile. La peur d’aggraver la douleur, la fatigue constante, ou les expériences négatives passées peuvent conduire à l’inactivité. Pourtant, le corps a besoin de mouvement pour fonctionner, et une inactivité prolongée peut renforcer la douleur, la raideur et la perte de confiance en soi.

C’est là qu’interviennent les thérapies de réadaptation : elles permettent de bouger autrement, en respectant les limites, en écoutant ses sensations, et surtout en étant accompagnée avec douceur et bienveillance.

Kinésithérapie : réapprivoiser le mouvement

kiné et douleur

La kinésithérapie adaptée à la douleur chronique ne ressemble pas à une séance classique de rééducation. Elle repose sur :

  • Des mouvements lents, progressifs, non douloureux ;
  • Un travail de reconditionnement physique : regagner de la mobilité, du souffle, un peu de tonicité ;
  • La réintégration de zones du corps qu’on évite souvent (par exemple, en cas de lombalgie chronique, on apprend à bouger le bas du dos sans appréhension).

➡️ Exemple : une femme souffrant de fibromyalgie peut retrouver petit à petit le plaisir de marcher, sans essoufflement ni poussée douloureuse, grâce à une progression douce et régulière.

Balnéothérapie : bouger en légèreté

La balnéothérapie (ou rééducation en piscine) offre un cadre idéal pour :

  • Diminuer les tensions musculaires grâce à la chaleur de l’eau ;
  • Alléger les articulations : l’eau porte le corps et permet de faire des mouvements impossibles à sec ;
  • Retrouver un sentiment de fluidité dans le corps, ce qui aide aussi le moral.

➡️ Exemple : dans une piscine chauffée à 33°C, une patiente atteinte d’arthrose sévère peut effectuer des mouvements de jambes sans douleur, chose impossible dans son quotidien.

Ergothérapie : adapter ses gestes au quotidien

L’ergothérapie aide à retrouver de l’autonomie dans les activités de tous les jours. Elle prend en compte :

  • La gestuelle : comment soulever une casserole, porter son enfant, travailler à l’ordinateur sans douleur ;
  • L’aménagement de l’environnement : adapter son poste de travail, sa salle de bain, ou son organisation à la maison ;
  • L’énergie disponible : apprendre à mieux répartir ses efforts, pour éviter l’épuisement.

➡️ Exemple : une femme souffrant d’un syndrome douloureux régional complexe (SDRC) de la main réapprend à écrire, cuisiner, ou utiliser son smartphone sans aggraver ses symptômes.

Un travail de réconciliation avec son corps

Plus que de simples techniques, les thérapies de réadaptation sont une porte vers une nouvelle relation au corps. On ne cherche pas la performance, mais le bien-être, le respect de ses limites, et la reconstruction de la confiance corporelle.

➡️ Le message essentiel : il est possible de bouger, même avec de la douleur, à condition d’être bien accompagnée et écoutée.

4. L’accompagnement psychosocial : retrouver une sécurité intérieure

Vivre avec une douleur chronique, ce n’est pas seulement avoir mal dans son corps. C’est aussi faire face à des émotions intenses, souvent invisibles pour l’entourage : anxiété, frustration, découragement, sentiment d’isolement… Quand la douleur s’installe dans le temps, elle peut fragiliser l’estime de soi, modifier les relations avec les autres, et même affecter l’identité.

Dans ce contexte, les thérapies psychosociales jouent un rôle essentiel. Elles ne font pas « disparaître » la douleur, mais permettent de retrouver une forme d’apaisement intérieur, de reconstruire de la sécurité émotionnelle, et de mieux vivre avec ce qui est là.

Thérapies cognitivo-comportementales (TCC) : comprendre et transformer les cercles vicieux

Les TCC sont des approches validées pour la douleur chronique. Elles aident à :

  • Identifier les pensées automatiques qui alimentent la peur ou le découragement (« je n’y arriverai jamais », « ça va encore empirer ») ;
  • Mettre en place des comportements plus aidants, comme reprendre une activité agréable même si la douleur est présente ;
  • Reprogrammer progressivement le cerveau à ne plus associer chaque mouvement ou chaque situation à un danger.

➡️ Exemple : une femme atteinte de douleurs pelviennes persistantes peut apprendre à distinguer douleur et danger, et ainsi reprendre des activités sociales qu’elle avait mises de côté.

Soutien psychologique ou psychiatrique : accueillir ce qui est trop lourd à porter seule

Certaines femmes font face à une souffrance psychique profonde, liée à l’impact de la douleur, mais parfois aussi à d’autres blessures de vie. Le soutien d’un(e) psychologue ou d’un(e) psychiatre peut permettre :

  • D’exprimer ce qui est resté silencieux, voire honteux ;
  • De sortir de l’isolement émotionnel ;
  • De bénéficier, si nécessaire, d’un traitement médical adapté pour un trouble anxieux, un état dépressif ou un trouble du sommeil.

➡️ Exemple : une femme en épuisement chronique depuis des années peut, grâce à un suivi régulier, retrouver des repères, des ressources, et reconstruire une base de sécurité intérieure.

Approches centrées sur les émotions ou les traumas : guérir en profondeur

Certaines douleurs chroniques sont exacerbées ou maintenues par des traumatismes passés ou des émotions non exprimées. Des approches comme :

  • L’EMDR (désensibilisation des traumatismes),
  • L’IFS (Internal Family Systems),
  • L’hypnose thérapeutique ou l’approche sensorimotrice,

peuvent aider à libérer des blocages émotionnels, apaiser le système nerveux, et réduire l’intensité ou la récurrence de la douleur.

➡️ Exemple : une femme ayant vécu une agression peut, en travaillant sur ce traumatisme, constater une nette amélioration de douleurs persistantes apparues peu après l’événement.

Une aide pour relier le corps, le cœur et l’esprit

Les thérapies psychosociales ne sont pas une solution magique. Mais elles offrent un cadre sécurisant, un espace d’écoute, et des outils concrets pour :

  • Mieux comprendre les liens entre stress, émotions et douleur ;
  • Retrouver une forme de stabilité intérieure, même dans l’inconfort ;
  • Se reconnecter à ses ressources profondes, souvent enfouies sous la douleur.

➡️ La douleur touche le corps, mais aussi tout l’être. Il est donc essentiel d’accompagner la personne dans sa globalité.hysiques et renforcent l’efficacité d’une prise en charge globale.

5. L’autogestion assistée : reprendre un peu de pouvoir

Quand la douleur s’installe, on peut avoir l’impression de perdre le contrôle sur sa vie. Le quotidien devient imprévisible, l’énergie est absorbée par les symptômes, et les projets s’effacent petit à petit. L’autogestion assistée offre une autre voie : celle de l’action douce, à son rythme, avec de l’aide.

L’objectif ? Ne plus subir la douleur, mais apprendre à la connaître, l’observer, et répondre autrement à ses signaux. Cette autogestion ne signifie pas « se débrouiller seule » : elle repose au contraire sur un accompagnement bienveillant, pour développer ses propres ressources.

Et c’est là que certaines approches complémentaires prennent tout leur sens.


Les ajouts essentiels : Coaching, Auto-hypnose et Espaces de Partage

🧭 Le coaching individuel : un espace pour soi, pour avancer à son rythme

Parfois, ce dont on a le plus besoin, c’est d’un regard extérieur, neutre et bienveillant, pour faire le point. Le coaching en gestion de la douleur offre un espace sécurisé pour :

  • Clarifier ses besoins et ses priorités ;
  • Identifier ses ressources internes (forces, qualités, soutiens) ;
  • Trouver des leviers d’action concrets, adaptés à son quotidien.

Le coaching permet de reprendre la main sur ce qu’il est encore possible d’ajuster, sans pression, avec respect du rythme et des capacités du moment.

➡️ Exemple : une femme épuisée qui ne sait plus par où commencer peut, grâce au coaching, retrouver une vision claire de ses envies et poser les premières actions réalistes, sans culpabilité.


🌀 L’auto-hypnose : se reconnecter à soi, apaiser son système nerveux

Hypnose douleur : deux mots qui, ensemble, ouvrent un champ de possibilités. Quand on vit avec une douleur chronique, le système nerveux est souvent en alerte permanente. L’auto-hypnose, lorsqu’elle est bien expliquée et pratiquée dans un cadre sécurisant, devient un outil puissant pour :

  • Apaiser le système nerveux autonome, sortir de l’état de stress chronique ;
  • Moduler la perception de la douleur, en agissant sur l’attention et les circuits neuronaux ;
  • Retrouver des moments de repos intérieur, même quand la douleur est là.

➡️ Exemple : une femme sujette à des crises douloureuses nocturnes apprend à pratiquer l’auto-hypnose pour favoriser l’endormissement et réduire l’intensité des épisodes.

Accessible, non intrusive, adaptable à chacun, l’auto-hypnose devient un allié quotidien pour reprendre contact avec son corps, et s’offrir une pause dans le tumulte.


🤝 Groupes de parole et ateliers éducatifs : sortir de l’isolement, apprendre ensemble

La douleur chronique isole. Beaucoup de femmes n’osent plus en parler, de peur d’ennuyer ou de ne pas être comprises. Les groupes de parole et ateliers éducatifs permettent de :

  • Partager avec d’autres femmes qui vivent des réalités proches ;
  • Apprendre ensemble (neurosciences de la douleur, autorégulation, ressources pratiques…) ;
  • Créer du lien, se sentir moins seule, être reconnue sans avoir à tout justifier.

➡️ Exemple : lors d’un atelier sur la douleur, un jeu pédagogique autour des croyances sur la douleur permet à chacune d’exprimer ses idées, d’entendre d’autres vécus, et de déconstruire certains mythes ensemble, dans la bonne humeur.

Ces espaces sont pensés pour être inclusifs, bienveillants et concrets : on y apprend, on y rit parfois, on s’y autorise à être vulnérable — et cela suffit souvent à souffler un peu.


L’autogestion assistée : un pilier essentiel de la prise en charge globale de la douleur chronique

Reprendre du pouvoir, un pas à la fois. Apprendre à s’écouter autrement, à reconnaître ce qui nous fait du bien, à poser des choix éclairés. L’autogestion, loin d’être une injonction à « se débrouiller seule », est un chemin vers plus d’autonomieaccompagnée, respectueuse, et surtout, humaine.

En Conclusion

La gestion de la douleur chronique repose sur une approche globale, qui combine les quatre piliers fondamentaux (prise en charge médicale, thérapie physique, gestion psychologique et adaptation du mode de vie) avec des pratiques complémentaires. Ces outils, tels que le coaching, l’auto-hypnose ou les ateliers éducatifs, offrent une prise en charge plus complète pour répondre aux besoins spécifiques de chaque individu.

Personnalisation des solutions : une clé essentielle

Chaque personne souffrant de douleur chronique est unique, que ce soit par la nature de sa douleur, son intensité, ses déclencheurs ou son impact sur la vie quotidienne. Il est donc crucial d’adopter une approche personnalisée, en tenant compte des particularités de chacun. Cela peut inclure, par exemple, une combinaison de traitements médicaux (comme des analgésiques ou des blocs nerveux) et des interventions psychologiques, comme la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), qui a prouvé son efficacité dans plusieurs études.Selon une étude publiée dans The Journal of Pain (2022), la TCC a permis de réduire les niveaux de douleur perçue de 30 % en moyenne chez les patients atteints de douleurs chroniques, tout en améliorant leur qualité de vie et leur gestion émotionnelle (source).

L’autonomie comme objectif central

L’un des principaux objectifs d’une gestion réussie de la douleur chronique est de redonner de l’autonomie aux patients. En combinant des outils tels que l’auto-hypnose (qui aide à moduler la perception de la douleur), le coaching (qui soutient la motivation et le suivi des objectifs), et les ateliers éducatifs (qui favorisent la compréhension de la douleur et des stratégies pour y faire face), les patients peuvent progressivement reprendre le contrôle de leur vie.Une étude menée par l’Université de Stanford (2021) sur les effets de l’auto-hypnose a révélé une diminution de 23 % des niveaux de douleur rapportés par les patients après 8 semaines de pratique régulière (source).

Réduction de l’impact de la douleur sur le quotidien

Enfin, ces approches combinées permettent non seulement de diminuer l’intensité de la douleur, mais également de réduire son impact global sur la vie quotidienne. Cela inclut une amélioration de la qualité du sommeil, une réduction de l’anxiété et de la dépression, ainsi qu’une meilleure capacité à reprendre des activités professionnelles ou sociales.Une méta-analyse réalisée en 2023 par Pain Management Today a montré que les approches multidimensionnelles, incluant les soins médicaux et les thérapies complémentaires, augmentaient de 40 % les chances de retour à une vie active comparé à une prise en charge médicale seule (source).

Ecrit par Corine Cliquet

Corine Cliquet, ancienne infirmière et aujourd'hui coach en gestion de la douleur et conseillère en santé globale. Forte de plus de 20 ans d'expérience dans le domaine de la santé, j'ai choisi d'adopter une approche holistique et humaine pour accompagner les personnes souffrant de douleurs chroniques et de stress. En tant que patiente ressource pour le Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC) et diplômée d'un Diplôme Universitaire en Éducation Thérapeutique du Patient (ETP), j'accompagne les patients dans la compréhension et la gestion de leur douleur en leur proposant des solutions concrètes, adaptées à leur quotidien. Mon travail repose sur des outils comme l'hypnose, la visualisation et des techniques de gestion du stress, afin d’aider chacun à prendre le contrôle de ses douleurs et de retrouver une meilleure qualité de vie. Ce que je propose : 🌟 Ateliers pratiques : Des sessions collectives pour comprendre la douleur et apprendre à la gérer grâce à des outils simples et efficaces. 🌟 Accompagnement personnalisé : Un suivi individuel pour adapter les stratégies à vos besoins spécifiques. 🌟 Programmes de gestion de la douleur : Des parcours sur mesure pour intégrer des techniques comme l’hypnose et d'autres pratiques centrées sur le bien-être. Mon objectif ? Vous aider à reprendre le pouvoir sur votre douleur et votre santé grâce à des outils concrets et une approche positive, bienveillante et ludique.

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